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mercredi 2 septembre 2015

Ce que tu ne sait pas sur le chocolat

Qui n’aime pas le chocolat ? Il est l’un des produits alimentaires les plus appréciés au monde, à tel point que certains n’imaginent pas leur vie sans lui ! On pense tout savoir sur le chocolat, mais il n’a pas fini de livrer ses secrets.

Un antioxydant puissant
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Le chocolat est riche en antioxydants, et le chocolat noir est riche en flavonoïdes qui aident à prévenir les maladies cardiaques.
Un concentré d’énergie
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Un carré de chocolat procure l’énergie suffisante pour marcher environ 46 mètres.
Il lutte contre la pré-éclampsie
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Des études scientifiques ont démontré que la consommation de chocolat peut prévenir les problèmes de grossesse. Le chocolat contient une substance chimique appelée théobromine qui aide à diminuer la pré-éclampsie, une complication majeure de la grossesse.
Consommation accrue
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Les Américains consomment environ 907.184 tonnes de confiseries par an, dont la moitié contient du chocolat.
Un concentré d’arômes
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Le chocolat contient plus de 600 composés aromatiques, tandis que le vin rouge en contient 200.
Bombe chocolatée
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Selon une lettre retrouvée par les historiens, les nazis prévoyaient de tuer Winston Churchill, alors premier ministre de Grande-Bretagne et grand consommateur de chocolat, en faisant exploser une de ses tablettes de chocolat.
 Du chocolat blond
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En plus du chocolat au lait, le chocolat noir et le chocolat blanc, il existe un quatrième type de chocolat : le chocolat blond, inventé par le Français Frédéric Bau. Un goût de sablé breton grillé et de lait caramélisé pour un nouveau voyage chocolaté !
Anti-diabète
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Le cacao peut améliorer la sensibilité à l’insuline. Consommer du chocolat noir avec modération peut donc prévenir ou retarder l’apparition du diabète.
Anti-caries
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Selon les scientifiques, le chocolat peut paradoxalement prévenir les caries dentaires. Il s’est en effet avéré qu’une partie de la fève de cacao, composante du chocolat, combat efficacement les caries.
Le chocolat aux arachides et aux amandes
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Environ 20 % des arachides et 40 % des amandes produites dans le monde sont destinées à la production de chocolat.
Source de minéraux
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Le chocolat noir est riche en minéraux tels que le sélénium, le zinc et le potassium. Le sélénium aide à protéger contre le cancer et le zinc aide à renforcer le système immunitaire. Les aliments riches en potassium diminuent le risque de maladies cardiaques, d’AVC et d’hypertension artérielle.
Anti-âge
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Lycotec, une entreprise basée à Cambridge, a créé un antivieillissement à base de chocolat : l’Esthechoc, Cambridge Beauty Chocolate. L’entreprise a révélé qu’Esthechoc contient des antioxydants, des flavonols de cacao, de l’astaxanthine et 70% de cacao. La puissance d’Esthechoc a été prouvée lors d’essais cliniques.
Le mythe du gâteau au chocolat allemand
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Le gâteau au chocolat allemand n’a absolument rien à voir avec les Allemands, il a été créé par Sam German, un chocolatier américain.
Les barres Hershey
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Il faut une année complète pour qu’un arbre de cacao produise suffisamment de gousses afin de produire 10 barres de chocolat Hershey de taille standard.
Une drogue très douce
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Dominique Persoone, un chocolatier belge, a conçu une machine permettant de sniffer le chocolat. Elle se compose d’une petite catapulte avec deux cuillères à ressort qui jettent la poudre de cacao dans les narines. Garanti sans calories.
La vérité sur le chocolat blanc
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Comme son nom ne l’indique pas, le chocolat blanc n’est pas un chocolat. Il ne contient pas de liqueur de cacao ou de cacao solide.

lundi 31 août 2015

Détecteur des radars


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jeudi 27 août 2015

Cinq conseils concernant le sommeil pour diminuer les migraines











Les liens entre la migraine et le sommeil sont multiples. Le sommeil peut soulager ou déclencher une crise, ce qui constitue un des grands paradoxes apparents relatifs aux migraines.
Le manque de sommeil est un déclencheur fréquent et puissant des crises identifié par plus de 40 % des patients. À l’inverse, le fait de dormir plus tard qu’à l’habitude peut aussi contribuer aux fameuses migraines de fin de semaine – une forme détestable de la migraine qui empêche de profiter des jours de congé. Les horaires irréguliers, sur appel ou comptant des gardes de nuit, ainsi que le fait d’avoir de jeunes enfants ou un partenaire dont le sommeil est agité sont des situations susceptibles d’augmenter la fréquence des migraines.
Dormir reste un des traitements classiques pour soulager une crise. Les patients rapportent souvent que les médicaments aident, mais tant qu’ils n’ont pas dormi, la crise n’est pas vraiment terminée. Cependant un pourcentage important des migraines survient durant le sommeil profond ou au petit matin. Ces crises nocturnes ou présentes au petit matin sont souvent difficiles à traiter, car la douleur est déjà bien installée au réveil. Cette tendance des migraines à survenir durant le sommeil s’accentue avec l’âge, puisque le pourcentage de migraineux rapportant de telles crises passe de 16 % dans la vingtaine à 58 % après l’âge de soixante ans.
Plusieurs théories pourraient expliquer ce lien entre migraine et sommeil. Durant le sommeil profond, il y a un certain degré de rétention de gaz carbonique, puisque la respiration ralentit. Le CO2 est un vasodilatateur puissant des artères cérébrales. Il est donc possible que la vasodilatation survenant naturellement durant certains stades du sommeil induise des migraines. Par ailleurs, le sommeil est géré par plusieurs zones du tronc cérébral situées à proximité des noyaux responsables des crises migraineuses. Il est possible qu’une activité électrique plus importante de ces centres déclenche des crises.
Peut-on réduire la fréquence des crises en modifiant les habitudes de sommeil ? Une étude très intéressante menée par le Dr Anne Calhoun a tenté de répondre à cette question. Un groupe de patients souffrant de migraine chronique a fait l’objet d’une intervention sur le sommeil. Le groupe actif a reçu cinq conseils « réels » et le groupe placebo a reçu des conseils « neutres » qui ne devaient pas, en théorie, améliorer la qualité du sommeil des sujets. Le résultat a été encourageant ! En tout, 35 % des patients qui avaient reçu les conseils réels avaient eu moins de crises, alors qu’aucun patient du groupe contrôle ne s’était amélioré. Par la suite, les deux groupes ont reçu les conseils réels et, six semaines plus tard, près de la moitié des patients s’étaient améliorés dans chaque groupe.
Cinq conseils concernant le sommeil pour diminuer les migraines
1. Horaire de sommeil régulier qui prévoit de sept à huit heures de sommeil par nuit.
2. Cesser de lire, d’écouter la télévision ou de regarder un écran au lit.
3. Utiliser une technique de visualisation pour faciliter l’endormissement.
4. Souper quatre heures ou plus avant de se coucher et limiter les boissons à deux heures avant le coucher.
5. Cesser de faire des siestes le jour.
En conclusion, il est possible de réduire ses migraines en améliorant la qualité de son sommeil. Une bonne hygiène de sommeil peut être rétablie en quelques semaines, mais dans certains cas un encadrement professionnel (thérapie cognitivo-comportementale) et l’utilisation temporaire de médicaments sont nécessaires. L’utilisation chronique de somnifères est à proscrire tant que les habitudes de sommeil ne sont pas corrigées. Comme pour tout essai thérapeutique, un calendrier devrait être tenu pour observer l’effet des modifications apportées.

La maladie d’Alzheimer

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          La maladie d’Alzheimer est une maladie dégénérative qui engendre un déclin progressif desfacultés cognitives et de la mémoire. Peu à peu, une destruction des cellules nerveuses se produit dans les régions du cerveau liées à la mémoire et au langage. Avec le temps, la personne atteinte a de plus en plus de difficulté à mémoriser les événements, à reconnaître les objets et les visages, à se rappeler la signification des mots et à exercer son jugement.
En général, les symptômes apparaissent après 65 ans et la prévalence de la maladie augmente fortement avec l’âge. Cependant, contrairement aux idées reçues, la maladie d’Alzheimer n’est pas une conséquence normale du vieillissement.
La maladie d’Alzheimer est la forme de démence la plus fréquente chez les personnes âgées; elle représente environ 65 % des cas de démence. Le terme démence englobe, de façon bien générale, les problèmes de santé marqués par une diminution irréversible des facultés mentales. La maladie d’Alzheimer se distingue des autres démences par le fait qu’elle évolue graduellement et touche surtout la mémoire à court terme, dans ses débuts. Cependant, le diagnostic n’est pas toujours évident et il peut être difficile pour les médecins de différencier la maladie d’Alzheimer d’une démence « à corps de Lewy », par exemple.

Prévalence

La maladie d’Alzheimer touche environ 1 % des personnes âgées de 65 ans à 69 ans, 20 % des personnes ayant de 85 ans à 89 ans et 40 % des personnes ayant de 90 ans à 95 ans1. Au Canada, environ 500 000 personnes ont la maladie d'Alzheimer ou une maladie apparentée.
On estime que 1 homme sur 8 et 1 femme sur 4 en souffriront au cours de leur existence. Dans la mesure où les femmes vivent plus longtemps, elles sont plus susceptibles d’en être atteintes un jour.
En raison du prolongement de l’espérance de vie, cette maladie est de plus en plus fréquente. On estime que, d’ici 20 ans, le nombre de personnes atteintes doublera au Canada.

L’atteinte du cerveau

La maladie d’Alzheimer se caractérise par l’apparition de lésions bien particulières, qui envahissent progressivement le cerveau et détruisent ses cellules, les neurones. Les neurones de l’hippocampe, la région qui contrôle la mémoire, sont les premiers touchés. On ne sait pas encore ce qui provoque l’apparition de ces lésions.
Le Dr Alois Alzheimer, un neurologue allemand, a donné son nom à la maladie, en 1906. Il est le premier à avoir décrit ces lésions cérébrales, lors de l’autopsie d’une femme morte de démence. Il avait observé dans le cerveau de celle-ci des plaques anormales et des enchevêtrements de cellules nerveuses désormais considérés comme les signes physiologiques principaux de la maladie d’Alzheimer.
Voici les 2 types de dommages qui apparaissent dans le cerveau des personnes atteintes :
  • La production excessive et l’accumulation de protéines bêta-amyloïdes dans certaines régions du cerveau. Ces protéines forment des plaques, appelées plaques amyloïdes ou plaques séniles, qui sont associées à la mort des neurones.
  • La « déformation » de certaines protéines structurales (appelées protéines Tau). La façon dont les neurones sont enchevêtrés est alors modifiée. Cette forme de lésion s’appelle la dégénérescence neurofibrillaire.
À ces lésions s’ajoute une inflammation qui contribue à altérer les neurones. Il n’existe pas encore de traitement qui puisse faire cesser ou renverser ces processus pathologiques.

Causes

Les causes de la maladie d’Alzheimer ne sont pas connues. Dans l’immense majorité des cas, la maladie apparaît en raison d’une combinaison de facteurs de risque. Le vieillissement est le principal facteur. Les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires (l’hypertension, l’hypercholestérolémie, l’obésité, le diabète, etc.) semblent également contribuer à son développement. Il est aussi possible que des infections ou l’exposition à des produits toxiques jouent un rôle dans certains cas mais aucune preuve formelle n’a été obtenue.
Les facteurs génétiques jouent également un rôle important dans l’apparition de la maladie. Ainsi, certains gènes peuvent augmenter le risque d’être atteint, bien qu’ils ne soient pas directement la cause de la maladie. En effet, les chercheurs ont découvert qu’environ 60 % des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer sont porteuses du gène Apolipoprotéine E4 ou ApoE4. Un autre gène, le SORL1, semble également être souvent impliqué. Cependant, plusieurs individus sont porteurs de ces gènes et n’auront jamais la maladie et, inversement, certaines personnes sans ces gènes peuvent développer la maladie.
Il existe aussi des formes héréditaires de la maladie mais qui comptent pour moins de 5 % des cas. Seulement 800 familles ont été répertoriées dans le monde. Les enfants ayant un parent atteint de la maladie d’Alzheimer dans sa forme héréditaire ont 1 risque sur 2 d’avoir eux-mêmes la maladie. Les symptômes de la forme familiale apparaissent de façon précoce, parfois avant 40 ans. Toutefois, même si plusieurs membres d’une même famille sont touchés par cette maladie, cela ne signifie pas forcément qu’il s’agit de la forme héréditaire.

Évolution de la maladie

La maladie d’Alzheimer évolue sur plusieurs années et sa progression varie beaucoup d’une personne à l’autre. On sait aujourd’hui que les premières lésions apparaissent dans le cerveau au moins 10 ans à 15 ans avant les premiers symptômes2.
Ceux-ci apparaissent généralement après l’âge de 60 ans. En moyenne, une fois que la maladie se déclare, l’espérance de vie est de 8 ans à 12 ans. Plus la maladie survient à un âge avancé, plus elle tend à s’aggraver rapidement. Lorsqu’elle se manifeste vers l’âge de 60 ans ou de 65 ans, l’espérance de vie est d’environ 12 ans à 14 ans; lorsqu’elle survient plus tard, l’espérance de vie n’est plus que de 5 ans à 8 ans. Il est actuellement impossible d’enrayer l’évolution de la maladie.
  • Stade léger. Des pertes de mémoire surviennent de façon occasionnelle. La mémoire à court terme, c’est-à-dire la capacité à retenir une information récente(un nouveau numéro de téléphone, les mots d’une liste, etc.), est la plus touchée. Les personnes atteintes tentent de pallier leurs difficultés en recourant à des aide-mémoire et à leurs proches. Des changements d’humeur et une légère désorientation dans l’espace peuvent aussi être observés. La personne atteinte a plus de mal à trouver ses mots et à suivre le fil d’une conversation.

    À ce stade, il n’est pas certain qu’il s’agisse de la maladie d’Alzheimer. Avec le temps, les symptômes peuvent rester stables ou même diminuer. Le diagnostic se confirme si les problèmes de mémoire s’accentuent et si d’autres fonctions cognitives se détériorent (langage, reconnaissance des objets, planification des mouvements complexes, etc.);
  • Stade modéré. Les troubles de la mémoire s’amplifient. Les souvenirs de jeunesse et d’âge moyen deviennent moins précis mais sont mieux préservés que la mémoire immédiate. Il est de plus en plus difficile pour les personnes atteintes de faire des choix; leur jugement commence à être altéré. Par exemple, il leur devient graduellement plus difficile de gérer leur argent et de planifier leurs activités quotidiennes. La désorientation dans l’espace et le temps devient de plus en plus évidente (difficulté à se souvenir du jour de la semaine, des anniversaires...). Les personnes atteintes ont de plus en plus de mal à s’exprimer verbalement;

    Entre les stades modéré et avancé, des problèmes de comportement inhabituels surgissent parfois : par exemple, de l’agressivité, un langage atypique, ordurier ou un changement des traits de la personnalité.
  • Stade avancé (ou terminal). À ce stade, le malade perd son autonomie. Unesurveillance permanente ou l’hébergement dans un centre de soins devient nécessaire. Des problèmes psychiatriques peuvent apparaître, notamment des hallucinations et des délires paranoïdes, aggravés par une perte de mémoire grave et de la désorientation. Les problèmes de sommeil sont courants. Les patients négligent leur hygiène corporelle, deviennent incontinents et peinent à s’alimenter seuls. S’ils sont laissés sans surveillance, ils peuvent errer vainement durant des heures.
La personne atteinte peut mourir d’une autre maladie à n’importe quel stade de l’Alzheimer. Cependant, dans son stade avancé, la maladie d’Alzheimer devient une maladie mortelle, comme le cancer. La plupart des décès sont causés par une pneumonie engendrée par la difficulté à avaler. Les malades risquent de laisser entrer dans leurs voies respiratoires et dans leurs poumons de la salive ou une partie de ce qu’ils mangent ou de ce qu’ils boivent. Il s’agit d’une conséquence directe de la progression de la maladie. La maladie d’Alzheimer est maintenant la 7e cause de décès au Canada, selon Statistiques Canada.

lundi 24 août 2015

Top 5 des applications les plus intelligentes du Google Play Store

Vous en avez marre que votre grand-mère vous répète en permanence combien les smartphones et tablettes sont abrutissants ? Prouvez-lui le contraire avec ces cinq applications qui vous apprendront beaucoup !
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© AndroidPIT

Duolingo

Duolingo a su mêler avec brio l'apprentissage d'une langue étrangère et le goût du jeu que chacun a en soi. Grâce à sa version mobile, vous pourrez pratiquer vos exercices où que vous soyez, tout en vous amusant ! Duolingo est en plus entièrement gratuit. Quoi de mieux ? 
Duolingo - Apprenez l'anglaisInstall on Google Play

Monument Valley

Monument Valley est bien plus qu'un jeu de plus sur le Google Play Store : tout en poésie, vous passerez par diverses étapes de réflexion, dans des décors de jeu minimalistes et magnifiques. Laissez ce jeu dans les mains de votre grand-mère et on va voir si elle pense toujours la même chose des nouvelles technologies... Par contre, pensez bien à ne jamais, jamais, jamais lui parler de Flappy Bird.
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Coursera

Coursera vous propose plus de 600 cours très divers, allant de l'art aux sciences "dures", disponibles en libre streaming. Ce site internet propose aussi une application permettant d'emporter cette source de connaissances incroyable dans votre poche, partout où vous allez. Le hic : le contenu est pour l'instant en anglais, mais voyons cela comme un plus qui vous permettra aussi d'améliorer votre compréhension orale !

Se coucher moins bête

Quand vous vous ennuyez, en attendant le métro ou aux toilettes, arrêtez de jouer à des jeux plus débiles les uns que les autres (désolée, il fallait bien que quelqu'un vous le dise), et apprenez des anecdotes par centaines ! Histoire, science, fait divers, astuce... tout y passe, et vous aurez enfin l'air d'en savoir autant que votre grand-mère !
Se Coucher Moins BêteInstall on Google Play

Einstein™ Défi Cérébral

De petits exercices journaliers qui vous permettront de mettre votre cerveau à l'épreuve, voilà ce qu'il vous faut ! Einstein est l'une des meilleures applications d'entraînement cérébral, elle contient même un mode multijoueur et des niveaux de difficultés adaptés. Cette version est celle d'essai, qui ne vous permettra de ne jouer qu'une fois, avant de passer à la version premium.
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dimanche 23 août 2015

Attention au méduses

Les méduses.
Les méduses et leur embranchement sont apparues sur terre il y a mille millions d'années. Les méduses sont des organismes cellulaires assez simples. Elles passent leur vie dans les eaux marines principalement, à part quelques rares espèces qui vivent dans les eaux douces. Elles peuplent principalement la surface des mers et des océans mais peuvent vivre parfois en profondeur. La méduse est formée d’un chapeau qui a la forme d’une ombrelle et d’un axe vertical, que l’on appelle le manubrium. Ce dernier est attaché au centre intérieur de l’ombrelle. Sur les bords de l’ombrelle sont attachées les tentacules. Les tentacules peuvent être très longs, plusieurs dizaines de mètres et l’on a attrapé des méduse dont le diamètre de l’ombrelle faisait plus de 3 mètres. Elles sont transportées par les courants et se déplacent lentement en contractant leur ombrelle, donnant l’impression qu’elles font des bonds ou qu'elles volent dans les airs.  
Certaines méduses (la plupart) peuvent piquer. Ces piqûres sont dues aux milliers de petites cellules venimeuses, réparties sur leur épiderme. Ces piqûres sont démangeantes, parfois très douloureuses et rarement mortelle, mais cela est déjà arrivé . En général, la méduse va se servir de son poison contre l'homme pour se défendre. En général, les cellules urticantes ( que l'on appelle nématocyste) se trouvent dans les tentacules des méduses. Rares sont les méduses qui sont dotées de cellules urticantes sur l'ombrelle et sur tout le corps.
Elle est constitué à plus de 90 % d'eau, ce qui lui donne cet aspect si gélatineux. En fait ce sont uniquement les éléments de son alimentation qui font sa forme. Sans ces derniers, le corps de la méduse s'effondrerait. La méduse se nourrit principalement de micro-organismes, de planctons et parfois de petits poissons ou de petits crustacés. Comme son aspect est translucide, on voit souvent la nourriture à l'intérieur de son corps en train de digérer. La proie est piégée, souvent au contact des cellules urticantes, puis ramenée sur le bord de l'ombrelle, où se trouve la bouche de la méduse, par de très fin mouvements de cils (minuscules soies mobiles). La méduse se laisse ainsi emporter par les courants, naviguant au milieu de sa nourriture.
Classification.
La classification des méduses est très compliquée, en tout cas pour moi. Je vais tenter de vous le résumer le mieux possible, en essayant de vous éviter un mal de tête. Les méduses appartiennent à la grande famille (embranchement) des cœlentérés. Trois classes forment la famille des cœlentérés , que l'on appelle aussi Cnidaires:
  1. Les hydroïdes (Hydrozoaires) représentent environ 3000 espèces. On y trouve l’hydre, petit organisme pluricellulaire, d’apparence végétale, qui n’a pas de squelette.
  2. Les méduses et les cuboméduses (Scyphozoaires et Cubozoaires) environ 200 espèces.  
  3. Les anémones et les coraux (Anthozoaires) environ 6000 espèces .
Attention, il faut être attentif car le terme méduse peut également représenter le stade de croissance d’une espèce. Par exemple, l’hydre passe par 2 stades de vie. Il commence par naître sous la forme d’un polype (organisme cellulaire fixe et asexué) puis passe au stade méduse (forme libre et sexuée).
Parmi ces trois classes, seuls les anémones de mer  et les coraux ne passent pas au stade méduse.
Si l’on revient aux méduses (Scyphozoaires et Cubozoaires), on peut les classer en deux classes :  
Les Hydroméduses
Les Acalèphes (ou Scyphoméduses)
  1. Les Hydroméduses.
Cette catégorie de méduses rassemble les méduses autonomes (qui ne sont pas fixées contrairement au polype, par exemple le corail ou l’anémone de mer). Elle est divisée en deux ordresdistincts :
a)   Les Trachyméduses, qui sont des méduses de petites tailles, soit quelques centimètres de diamètres et leur organisme est assez simple. Leur ombrelle a la forme d’une demi-sphère ou alors est aplati. On trouve des Trachyméduses avec un nombre variable de tentacules (8 à 32 selon les espèces). Elles vivent principalement en haute mer mais lors de la saison froide, elles sont emportées par les courants vers les côtes. Dans la mer Méditerranée, on trouve fréquemment la méduse « Geryona proboscidalis ».  
Une petite Trachyméduse
b)   Les Narcoméduses sont quant à elles, des méduses dont l’organisme est plus complexe. L’ombrelle est très souvent aplatie, de la forme d’une lentille ou d’un disque. Elles sont peu nombreuses bien qu’on en trouve beaucoup en Méditerranée. Par contre, elles ne fréquentent que très peu les mers chaudes et on ne les trouve quasiment pas dans les mers froides. Elles sont en général assez petites, mesurant de 3 à 30 millimètres.
2. Les Acalèphes (ou Scyphoméduses)
Ces méduses sont plus évoluées. L’ombrelle est hémisphérique et sa musculature est très bien développée. Elles sont urticantes. Elles font partie du plancton côtier ou de haute mer. On répartit ces méduses en cinq ordres :
a)   Les Charybdéides sont des méduses dont la forme de l’ombrelle est cubique. Elles possèdent quatre tentacules qui sont creux.
  
Magnifique Carybdea_marsupialis (source: doris.ffessm.fr, Photo  GREGORY DALLA VALLE)
b)   Les Coronates ont une ombrelle découpée en lobes. Les tentacules sont accrochés au fond de ces lobes. Ces méduses vivent en haute mer.  
Une Coronate (Photo: Edie Widder)
c)   Les Séméostomes sont particulièrement urticantes. Elles peuvent être de grande taille et certaines ont une chair phosphorescente. Elles peuvent posséder un très grand nombres de tentacules (jusqu'à 1200).
  
Deux superbes Aurelia aurita. La deuxième s'est curieusement retournée. (Photos: Vincent MARAN)
d)   Les Rhizostomes sont assez massives. On les reconnaît à leur ombrelle en forme de cloche frangée de 80 à 100 lobes. Elles mesurent 60 centimètres de diamètre et peuvent parfois atteindre 1 mètre. Elles n’ont pas de tentacules mais 4 bras buccaux. Ces méduses vivent dans les mers chaudes. Elles se nourrissent de planctons. Ces médusent sont les évoluées de toutes.  
Phyllorhiza punctata (photo: David Wrobel à gauche)     Rhizostoma pulmo (photo: Frédéric ANDRE à droite)
e)   Les Lucernaires sont des méduses fixées. Elles peuvent se détacher et se déplacer quelque peu. Leurs ombrelles sont bien sûr animées de mouvements.
Lucernaire à quatre cornes (photo: Christian Poirier)
Le rôle des méduses.
On ne sait pas exactement quel est le rôle des méduses, mais on penche pour une théorie qui donnerait à cette dernière un rôle régulateur de la faune planctonique voire même des espèces de poissons. Les apparitions en surnombre de certaines méduses urticantes dans des sites de pisciculture ont eu un effet dévastateur sur les poissons. Cette triste aventure est arrivée en Irlande, en automne 2007 et pourrait être représentative de la théorie.
Les vagues pullulantes de méduses.
On remarque depuis quelques temps, l’arrivée cyclique de millions de méduses dans des endroits restreints et pas toujours adéquats (l’exemple de la pisciculture irlandaise en est un), mais ceci est également vérifié sur les plages fréquentées par des touristes. Une explication de ce phénomène serait l’augmentation de la température des eaux due au réchauffement climatique. Cette augmentation de température (environ 2° Celsius) combinée avec la disparition des prédateurs des méduses (thons, tortues de mer) sont d’autant plus favorables à l’explosion démographique de certaines espèces. En Espagne, et particulièrement près du littoral de Barcelone, on a dénombré plus de 10'000 personnes blessées plus ou moins gravement par piqûres urticantes de méduses lors de l’été 2007.
Les plus dangereuses.
Il existe quelques méduses qui ne sont pas urticantes, ou très peu, et malheureusement, il existe aussi des méduses dont le poison est très dangereux pour l’homme. La Cuboméduse (guêpe des mers) et laPhysalia physalis (galère portugaise) peuvent tuer une personne très rapidement. Le poison agit en quelques minutes seulement. On attribuerait la mort de 70 personnes au cours des cents dernières années à la cuboméduse. Cette méduse est la plus dangereuse. Elle est dotée de 60 filaments d'environ 4 mètres de longueur et de 6 millimètres de diamètre. Les experts disent que dans 3 mètres d'un seul tentacule, on obtiendrait une dose mortelle pour l'homme. Heureusement, il ne s'agit pas de crochets de serpent et une simple combinaison de plongée assure une bonne protection.
  
La cuboméduse peut atteidre une taille respectable
  
Vue d'un peu plus près, la cuboméduse n'a l'air de rien mais.... (photo Dr Anders Garm)

La Physalie est également très dangereuse. C'est aussi une forme très curieuse de méduse. Elle est dotée d'un flotteur rempli d'air qui lui permet de se tenir à la surface et d'être ainsi emportée par les courants et les vents. Son flotteur peut se dégonfler lorsque c'est nécessaire (attaque depuis la surface) et lui permettre de nager en profondeur. Ses filaments sont extrêment longs. Ils mesurent environ 10 mètres en moyennes mais peuvent atteindre jusqu'à 50 mètres. Ils sont extrêmement urticants et peuvent provoquer un état de choc.

Le rythme cardiaque



Le rythme cardiaque, aussi appelé les pulsations cardiaques, est le nombre de fois que votre cœur bat par minute. Un rythme cardiaque normal dépend de l’individu, de son âge, de la taille de son corps, de son niveau de forme physique, de son état cardiovasculaire, s’il est debout ou assis, s’il prend ou non des médicaments et même de la température de l’air. Les émotions peuvent aussi avoir un impact sur le rythme cardiaque, étant donné que ce dernier s’élève quand un danger est détecté ou si l’on vit d’autres facteurs de stress.

Comment mesurer le rythme cardiaque ?

Il y a plusieurs régions du corps où vos pulsations cardiaques peuvent être mesurées – le poignet, sur le côté du cou, l’aine et le dessus du pied. Pour avoir une lecture précise, il faut mettre un doigt sur l’une de ces régions du corps et compter le nombre de battements pendant 60 secondes. Vous pouvez aussi le faire pendant 15 secondes et multiplier le chiffre obtenu par 4, ou pendant 10 secondes et multiplier par 6, mais il est recommandé de faire ce décompte de pulsations pendant 60 secondes quand c’est possible. Mieux vaut également se mettre tranquillement assis pendant 10 minutes avant de prendre ses pulsations au repos.

Le rythme cardiaque au repos

Pour les adultes de 18 ans et plus, un rythme cardiaque au repos se situe entre 60 et 100 battements par minute (bpm), qui dépend de la condition physique d’un individu. Pour les enfants âgés de 6 à 15 ans, le rythme cardiaque au repos se situe entre 70 et 100 bpm. Les athlètes et les personnes en excellente condition physique peuvent avoir des rythmes cardiaques à 40 battements par minute.

Le rythme cardiaque maximal

Alors qu’il n’y pas de conseil médical définitif sur ce qui constitue un rythme cardiaque trop élevé, la plupart des experts médicaux sont d’accord pour dire qu’un rythme cardiaque constamment dans la fourchette la plus haute peut trop stresser le cœur et les autres organes.
Les deux calculs du rythme cardiaque maximal les plus fréquents sont :
- 220 - l’âge. Ainsi, pour une personne de 50 ans, nous avons : 220-50=170 bpm
- 206.9 - (0,67 x l’âge). Pour une personne de 50 ans nous obtenons : 0,67 x 50 = 33,5. Puis 206,9 – 33,5 = 173,4 bpm.
Le second calcul est légèrement plus précis que le premier, mais le premier est plus facile et plus pratique à retenir.

Cibler le rythme cardiaque

Vous obtenez le plus de bénéfices et réduisez le plus les risques de maladie cardiaque en faisant du sport dans la zone de rythme cardiaque cible. Selon le Centers for Disease Control & Prevention, pour une activité physique d’intensité modérée, le rythme cardiaque cible d’une personne devrait être de 50% à 70% de son rythme cardiaque maximum. Par exemple, en utilisant les calculs ci-dessus, une personne de 50 ans a des niveaux à 50% et 70 % comme suit :
- Niveau à 50% : 170 x 0,50 = 85 bpm
- Niveau à 70% : 170 x 0,70 = 119 bpm
Pour un exercice intense, le rythme cardiaque cible d’une personne devrait se situer entre 70% et 80% de son rythme cardiaque maximal.
- Niveau à 70% : 170 x 0,70 = 119 bpm
- Niveau à 85% : 170 x 0,85 = 144 bpm
Il n’est pas recommandé de faire de l’exercice au-delà de 85% de votre rythme cardiaque maximal, car cela n’apporte pas plus de bénéfices mais augmente les risques cardiovasculaires et orthopédiques.

Diminuer un rythme cardiaque rapide

L’exercice physique régulier est la méthode éprouvée pour diminuer le rythme cardiaque au repos, étant donné que les personnes qui sont en bonne condition physique ont le taux de pulsations le plus bas. Même ceux qui sont en forme physique peuvent vivre des pics de leurs pulsations, ce qui peut causer un sentiment de malaise.
Le rythme cardiaque peut monter en flèche à cause de la nervosité, du stress, de la déshydratation et d’un épuisement important. Le fait de s’assoir et de marcher lentement, de prendre des inspirations profondes peut généralement faire baisser le rythme cardiaque.

Arythmie, tachycardie et autres troubles

Un certain nombre de troubles peuvent impacter le rythme cardiaque. Une arythmie fait que le cœur bat trop vite, trop lentement ou à un rythme irrégulier.
La tachycardie est généralement considérée comme un rythme cardiaque situé au-dessus de 100 battements par minute et souvent causée quand les signaux électriques de la chambre haute du cœur s’enflamment anormalement. Si le taux de pulsations du cœur est proche de 150 bpm ou plus, il s’agit d’un trouble connu sous le nom de "tachycardie supraventriculaire". Dans la tachycardie supraventriculaire, le système électrique du cœur, qui contrôle les battements du cœur, est hors de contrôle. Ce qui exige généralement une attention médicale.
La bradycardie est le contraire, il s’agit d’un état où le cœur bat trop lentement, souvent moins de 60 bpm. Ce peut être le résultat de problèmes avec le nœud sino-auriculaire, qui agit comme un pacemaker, ou de dégâts causés au cœur à cause d’une crise cardiaque ou d’une maladie cardiovasculaire.

Tension élevée contre rythme cardiaque élevé

Certaines personnes font une confusion entre une tension élevée et un rythme cardiaque élevé. La tension artérielle est la mesure de la force du sang contre les parois des artères, tandis que les pulsations cardiaques sont le nombre de fois que votre cœur bat par minute.
Il n’y a pas de corrélation directe entre les deux, et une tension artérielle élevée n’a pas obligatoirement pour résultat un rythme cardiaque élevé, et vice-versa. Le rythme cardiaque s’élève pendant une activité épuisante, mais un entrainement sportif intense n’augmente que modestement la tension artérielle.